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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Critique

 

Certaines n'avaient jamais vu la mer (Julie Otsuka)

note: 4Un roman bouleversant et envoutant Victoria, MMC - 13 mars 2015

Julie Otsuka dresse le portrait de femmes japonaises parties trouver le bonheur aux Etats-Unis. Depuis le bateau dans lequel elles embarquent, jusqu'à la génération suivante, leur chant nous aide à comprendre ce par quoi elles sont passées. En huit brefs chapitres, l’auteure fait entendre la parole de milliers de femmes exilées. Il n'y a pas d'héroïne dans ce roman terrible et poignant, uniquement des voix anonymes qui partagent leurs destins misérables. Aucune n'est nommée, mais chacune est citée. Elles sont un lot, un groupe, un tout.
Sans le talent de Julie Otsuka et sa délicatesse, le récit aurait pu rapidement sombrer dans le pathétique. Ce n'est pourtant jamais le cas, et l'émotion tient le lecteur tout au long du roman. Un "petit" livre qui laisse une grande impression.