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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Critique

 

Moi et toi (Niccolò Ammaniti)

note: 2Retrouvailles S.BASSET - 10 février 2015

Le fil narratif, pour improbable qu’il peut paraître, est assez séduisant cependant, et sert plutôt bien le propos de l’auteur qui est d’aborder le mal être de toute une jeune génération et d’évoquer ses difficultés d’adaptation à la société dans laquelle elle vit.

Le roman de Niccolò Ammaniti est habilement construit. D’abord parce que le choix par l’auteur d’un cadre serré d’une unité de lieu (la cave de l’appartement familial), de temps (une semaine) et d’action (la rencontre de Lorenzo et d'Olivia) s’accorde intelligemment à la dramaturgie du récit. Ensuite parce que l’émotion, qui s’exprime à travers la rencontre incongrue de ce frère et de cette sœur presque inconnus l’un à l’autre, est bien dosée, sobre, et pudique.

Malgré tout, et même si le récit possède un rythme et une fluidité qui en fait une lecture très plaisante, je dois dire que la prose du roman, assez commune, m’a laissé un peu sur ma faim et ôte une partie de l’intérêt que j’ai pu trouver à ce roman.