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Avis de lecteurs

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Les Enfants endormis (Anthony Passeron)

note: 4Drogue, sida, secret de famille FM - 30 décembre 2022

A travers l'histoire taboue de son oncle, jeune homme du début des années 1980 détruit par l'héroïne, l'auteur restitue l'épopée de l'apparition du sida et des recherches médicales pour le [...]

On Giacometti (Hania Rani)

note: 1On Giacometti Patrick - 16 novembre 2023

Héritière de Keith Jarrett, Terry Riley, klaus Shulze et admiratrice d'Agnès Obel une prodigieuse pianiste

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Oshi no ko n° 2 (Aka Akasaka)

note: 5L'étoile du mensonge Florian MSP - 3 janvier 2024

Un excellent manga de Aka Akasaka qui nous met en avant le monde du spectacle qui est un milieu où on voit beaucoup de noirceurs. Un gros coup cœur personnel [...]

La guerre des pauvres (Eric Vuillard)

note: 5Superbe hommage aux théologiens moyenâgeux de la révolution Jérôme - 27 février 2023

Le prix Goncourt 2017 Eric Vuillard fait la part belle dans "La Guerre des pauvres" à Thomas Müntzer surnommé plus tard "théologien de la révolution". C'est un récit littéraire érudit [...]

Critique

 

Oeuvre non trouvée

note: 4Beaucoup de bruit pour pas grand chose Céline - 18 mai 2018

Je dois avouer que c'est un peu particulier à lire quand on a pas l'habitude, on jongle entre amour et passion décrite de manière assez crue. Mais plus l'histoire avance, plus j’ai l'impression de lire la même chose. Les scènes intimes sont presque toujours décrites de la même manière, avec les mêmes mots, et au final l'auteur s'est elle-même prise à son propre jeu et tourne en rond. A tel point que je trouve qu'on perd un peu du réalisme de l'histoire. Pour Anastasia, l'histoire étant racontée de son point de vue, je trouve intéressant de pouvoir lire ses pensés, même si elle n'utilise pas de mots pour les exprimer. Pour Christian en revanche c’est plus compliqué, on sent qu'il est torturé, avec un lourd passé, mais plus on en apprend sur lui, plus on arrive à s'attacher à lui.
L’histoire a une base assez classique au final, ce qui fait le succès de cette saga littéraire finalement c'est l'imagination du lecteur, ni plus, ni moins. L'auteur fait tout pour que celui qui lit le livre soit embarqué dans l'histoire. Le reste est, pour moi, uniquement là pour titiller l'imagination du lecteur et exciter sa curiosité. Un premier tome qui lance bien l'histoire mais avec quelques longueurs et beaucoup de répétitions.