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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Critique

 

Je m'appelle Budo (Matthew Dicks)

note: 3Touchante histoire, mais... Victoria, MMC - 15 juin 2016

Ce livre interpelle dès la couverture, non seulement au niveau du graphisme très original, mais aussi du titre à rallonge ! L'originalité du roman réside dans le fait que c'est Budo, l'ami imaginaire, qui raconte l'histoire. Car comme il tient à le préciser, Budo existe bien par lui-même, au-delà de l'imagination de Max.

On pourrait croire que tout est dit, pourtant Max a une place à part, puisqu’il est autiste, ce qui le rend particulièrement vulnérable au monde qui l'entoure. Budo a donc pour mission de protéger Max des disputes de ses parents, des grands de l'école...mais lorsque l’enfant se fait enlever, Budo est un peu démuni pour lui venir en aide, et doit alors se faire aider de ses amis...imaginaires.

Plein d'humour et d'originalité, le roman traite avec justesse du sujet du handicap, et même du rapt d'un enfant… mais avec beaucoup trop de longueurs ! Moi qui attendais de lire ce titre depuis longtemps, j’étais un peu déçue par ma lecture, que j’ai bien failli ne pas terminer…