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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Critique

 

Les jardins de Zagarand (Eric de Kermel)

note: 5Telle la poésie de la vie Gabin - 7 juin 2021

Paul est un père qui n’est plus depuis que le destin lui a arraché son fils. Anéanti, enseveli par la souffrance, il décide de partir rejoindre sa sœur, Mathilde, à Zagarand. Un oasis d’humanité oublié aux confins de l’Afrique subsaharienne.
Plus que le roman d’une reconstruction, Éric de Kermel nous initie au fil des pages à une philosophie. Celle de vivre. Debout. Et non courbé par le poids de l’adversité.
Sur les bords de l’Izir se cultivent d’incroyables jardins où germe la sagesse. Il s’y élève également de modestes maisons qui font de chaque mot la plus grande richesse du monde.
À Zagarand, la sensibilité n’est pas une tare. Elle est une vertu, un pas majeur vers la maturité et la responsabilité.
À Zagarand, l’osmose régnant entre l’Homme et la Nature insuffle, inspire une confiance nouvelle envers chaque être qui vit.
À Zagarand, chaque sentiment est une vibration qui fait palpiter l’âme. C’est un feu qui danse en chacun, qui embrase le cœur d’amour, qui illumine l’esprit de discernement.
Aux côtés d’Élias, Mayssa, Maalik ou encore d’Aimane, la femme médecine, venez découvrir comment la beauté prend son essence dans la simplicité.
La délicieuse poésie de l’auteur de La Libraire de la place aux Herbes et d’Orphelins de l’aurore vous transportera encore une fois au sein d’un univers merveilleux, fondement d’une nouvelle manière d’habiter la Terre.