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Avis de lecteurs

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Critique

 

Moi et toi (Niccolò Ammaniti)

note: 2Retrouvailles S.BASSET - 10 février 2015

Le fil narratif, pour improbable qu’il peut paraître, est assez séduisant cependant, et sert plutôt bien le propos de l’auteur qui est d’aborder le mal être de toute une jeune génération et d’évoquer ses difficultés d’adaptation à la société dans laquelle elle vit.

Le roman de Niccolò Ammaniti est habilement construit. D’abord parce que le choix par l’auteur d’un cadre serré d’une unité de lieu (la cave de l’appartement familial), de temps (une semaine) et d’action (la rencontre de Lorenzo et d'Olivia) s’accorde intelligemment à la dramaturgie du récit. Ensuite parce que l’émotion, qui s’exprime à travers la rencontre incongrue de ce frère et de cette sœur presque inconnus l’un à l’autre, est bien dosée, sobre, et pudique.

Malgré tout, et même si le récit possède un rythme et une fluidité qui en fait une lecture très plaisante, je dois dire que la prose du roman, assez commune, m’a laissé un peu sur ma faim et ôte une partie de l’intérêt que j’ai pu trouver à ce roman.