le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]
Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]
Valentine Goby nous a habitués à des romans bien écrits et très forts, nourris d’histoires vraies sur des thèmes peu traités dans la littérature, mettant souvent en valeur un personnage principal cruellement atteint par la vie mais combatif. « Murène » ne déçoit pas en nous emportant dans le destin brisé d’un jeune homme athlétique qui perd accidentellement ses deux bras, épaules incluses. Le récit se situe dans les années 1950 : la majorité des mutilés sont alors des blessés de guerre, et il reste beaucoup de progrès à apporter au soin des civils. Souffrance physique, dépression… François passe par toutes les étapes, avant de retrouver un peu de goût à la vie par la natation – si une murène peut nager, pourquoi pas l’homme amputé ? Nous approchons ainsi l’histoire du handisport, jusqu’à sa reconnaissance dans l’arène olympique.
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
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