Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]
Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]
Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]
Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
« Orphelins 88 » peut être considéré comme la continuité de « Max », un autre roman de Sarah Cohen-Scali. Tous deux abordent une facette méconnue de la Seconde Guerre mondiale : le programme Lebensborn, des centres dans lesquels les nazis tentaient de créer la race aryenne parfaite.
Cette fois, elle explique comment les SS enlevaient des enfants répondant aux critères aryens dans les pays de l’Est, pour les germaniser par la suite. Le petit Jo est l’un de ses enfants. Amnésique, nous le suivrons tout au long du roman dans sa quête d’identité.
Sans jamais tomber dans le pathos, l’autrice décrit avec brio les désastres qu’a causé la guerre sur les plus jeunes, le tout d’une écriture fluide et abordable. « Orphelins 88 » passionne autant qu’il fait horreur par moments, mais n’en reste pas moins un roman à la fois instructif et nécessaire.
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