"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]
Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
Mia Kankimaki est une autrice finlandaise, grande admiratrice de Karen Blixen, elle aimerait se lancer sur ses traces en Afrique. Comme elle est un peu effrayée à l’idée de voyager seule, elle va être reçu chez un couple de vagues connaissances en Tanzanie. De là, accompagnée d’un guide, elle voyagera au Kenya. Ses observations et ses constatations sur la vie de Karen Blixen ne sont pas d’une bienveillance aveugle. Le colonialisme, la chasse des animaux sauvages, l’asservissement des habitants sont autant de choses qu’elle déplore et qu’elle évoque dans les lettres fictives qu’elle écrit à Karen Blixen.
De retour en Finlande, elle ne pense qu’à repartir et entame des recherches sur les grandes exploratrices et voyageuse du XIXe siècle. Isabella Bird, Mary Kinsley, Ida Pfeiffer ont commencé à voyager vers 40 ans pour soigner un état mélancolique ou des douleurs physiques. Issues d’une petite bourgeoisie étriquée ces femmes n’était pas des aventurières, elles voyageaient en robes longues et corsetés, elles n’avaient ni ambition ni prétention féministe.
Je ne connaissais pas vraiment ces femmes et les propos rapportés par Mia Kankimaki m’ont captivée. J’ai été surprise par leur courage ombré d’innocence, leur détermination sans ambition. Pour toutes les voyages autour du monde étaient devenus une raison de vivre. À découvrir
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