Recherche


Avis de lecteurs

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Critique

 

Certaines n'avaient jamais vu la mer (Julie Otsuka)

note: 4Un roman bouleversant et envoutant Victoria, MMC - 13 mars 2015

Julie Otsuka dresse le portrait de femmes japonaises parties trouver le bonheur aux Etats-Unis. Depuis le bateau dans lequel elles embarquent, jusqu'à la génération suivante, leur chant nous aide à comprendre ce par quoi elles sont passées. En huit brefs chapitres, l’auteure fait entendre la parole de milliers de femmes exilées. Il n'y a pas d'héroïne dans ce roman terrible et poignant, uniquement des voix anonymes qui partagent leurs destins misérables. Aucune n'est nommée, mais chacune est citée. Elles sont un lot, un groupe, un tout.
Sans le talent de Julie Otsuka et sa délicatesse, le récit aurait pu rapidement sombrer dans le pathétique. Ce n'est pourtant jamais le cas, et l'émotion tient le lecteur tout au long du roman. Un "petit" livre qui laisse une grande impression.