Recherche


Avis de lecteurs

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Critique

 

L'étrange disparition d'Esme Lennox (Maggie O'Farrell)

note: 5Vie volée et secrets de famille Victoria, MMC - 19 novembre 2014

A 16 ans, Euphemia Lennox est placée dans un hôpital psychiatrique. Soixante ans plus tard, l'établissement ferme et contacte la parente éloignée de la patiente, Iris Lockhart. Cette dernière ignore alors qu'elle a une grand-tante, personne n'en ayant jamais fait mention devant elle.
Si Maggie O'Farrell reste pudique dans la description des sentiments, le roman reste terriblement émouvant et décrit de façon saisissante la condition des femmes au début du 20ème siècle. Le style d'écriture est très particulier : l'histoire est racontée d'une traite, sans chapitres, alternant les voix de deux femmes de génération et d'éducation radicalement différente. Un roman d'une beauté troublante sur le poids des conventions et la complexité des liens familiaux. A lire absolument !