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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Critique

 

Le Vent se lève (Hayao Miyazaki)

note: 4Miyazaki et le règne des machines Victoria, MMC - 20 mars 2015

« Le Vent se lève » nous entraine dans les années 1920, sur les traces du jeune Jiro, qui à cause de sa mauvaise vue, ne pourra jamais devenir pilote d’avion. S’il ne peut réaliser son rêve initial, le jeune homme deviendra tout de même un éminent ingénieur aéronautique. Miyazaki nous fait part des réussites et échecs de ce génie, animé des meilleures intentions et dévoré par sa passion.
Au niveau du biopic, le réalisateur japonais fait des merveilles et parvient à captiver le spectateur avec un sujet pourtant à priori barbant. Il traite la fatalité de la maladie avec une délicatesse et une certaine tendresse. Le travail esthétique est, comme d’habitude, impeccable et la musique, minimaliste mais pourtant sublime, font de ce dernier Miyazaki un grand film à tous les niveaux.