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Avis de lecteurs

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Critique

 

Et le désert disparaîtra (Marie Pavlenko)

note: 5Conte écologique - 6 octobre 2020

Dans ce futur qui pourrait être le nôtre, l’eau a disparu et avec elle, la faune et la flore. La Terre est recouverte de déserts brûlants dans lesquels subsistent quelques rares oasis et les derniers arbres centenaires que les hommes abattent et vont revendre pour pouvoir s’acheter des matières premières : eau gélifiée, bouteilles d’oxygène et nourriture. L’ancêtre de la tribu ne cesse de clamer (mais n’arrive pas à se faire entendre des nouvelles générations) que coupés, les arbres comblent des besoins immédiats (en procurant de l’argent) mais que, protégés et multipliés, sur le long terme, ils produisent tout ce qui est nécessaire à la survie des êtres humains… et de la planète entière ! C’est évidemment un discours très écologique que nous propose ici Marie Pavlenko et un discours qui raisonne plus que jamais avec notre actualité et nos problématiques quotidiennes. C’est un court titre (une petite graine plantée) qui s’adresse aux lecteurs adolescents, cette nouvelle génération qui, comme l’héroïne du roman, ouvrira peut-être les yeux sur l’évidence, verra peut-être plus loin que l’enrichissement immédiat et permettra, on l’espère, de changer sa façon de vivre pour sauvegarder la planète.