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Avis de lecteurs

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Le rapport de Brodeck n° 1
L'autre (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Critique

 

Le Vent se lève (Hayao Miyazaki)

note: 4Miyazaki et le règne des machines Victoria, MMC - 20 mars 2015

« Le Vent se lève » nous entraine dans les années 1920, sur les traces du jeune Jiro, qui à cause de sa mauvaise vue, ne pourra jamais devenir pilote d’avion. S’il ne peut réaliser son rêve initial, le jeune homme deviendra tout de même un éminent ingénieur aéronautique. Miyazaki nous fait part des réussites et échecs de ce génie, animé des meilleures intentions et dévoré par sa passion.
Au niveau du biopic, le réalisateur japonais fait des merveilles et parvient à captiver le spectateur avec un sujet pourtant à priori barbant. Il traite la fatalité de la maladie avec une délicatesse et une certaine tendresse. Le travail esthétique est, comme d’habitude, impeccable et la musique, minimaliste mais pourtant sublime, font de ce dernier Miyazaki un grand film à tous les niveaux.