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Avis de lecteurs

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Critique

 

Je m'appelle Budo (Matthew Dicks)

note: 3Touchante histoire, mais... Victoria, MMC - 15 juin 2016

Ce livre interpelle dès la couverture, non seulement au niveau du graphisme très original, mais aussi du titre à rallonge ! L'originalité du roman réside dans le fait que c'est Budo, l'ami imaginaire, qui raconte l'histoire. Car comme il tient à le préciser, Budo existe bien par lui-même, au-delà de l'imagination de Max.

On pourrait croire que tout est dit, pourtant Max a une place à part, puisqu’il est autiste, ce qui le rend particulièrement vulnérable au monde qui l'entoure. Budo a donc pour mission de protéger Max des disputes de ses parents, des grands de l'école...mais lorsque l’enfant se fait enlever, Budo est un peu démuni pour lui venir en aide, et doit alors se faire aider de ses amis...imaginaires.

Plein d'humour et d'originalité, le roman traite avec justesse du sujet du handicap, et même du rapt d'un enfant… mais avec beaucoup trop de longueurs ! Moi qui attendais de lire ce titre depuis longtemps, j’étais un peu déçue par ma lecture, que j’ai bien failli ne pas terminer…