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Avis de lecteurs

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Critique

 

Rosa candida (Auður Ava Ólafsdóttir)

note: 4Où il est question de botanique, de l'Islande et de paternité Victoria, MMC - 23 janvier 2015

Audur Ava Olafsdottir raconte le voyage quasi initiatique d'un jeune homme passionné de botanique venant de perdre sa mère. Sorte de Candide des temps modernes, il décide de quitter son Islande natale pour aller s'occuper du jardin défraichi d'un monastère lointain. Ce voyage est une succession de découvertes et de petits bonheurs pour ce personnages insolite dont la naïveté et la candeur le rendent très attachant. A travers ses réflexions, les grands thèmes de la vie, du désir et de la mort sont abordés avec délicatesse et subtilité par l'auteure.
Au final, même si le récit n'est pas trépidant, Rosa candida est un livre des plus touchants, oscillant entre gravité et légèreté, un roman sensible et délicat, qui fait du bien.