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Avis de lecteurs

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Critique

 

Voleur de feu : une vie d'Arthur Rimbaud n° 1
Voleur de feu (Damien Cuvillier)

note: 2"Je veux être poète" Sylvie - 19 décembre 2023

Une BD sur la vie d'Arthur Rimbaud, "poète voyant", à la courte vie tumultueuse : sacré défi ! L'incipit nous avertit : "L'auteur (...) assume une totale subjectivité ainsi que la fictionnalisation de plusieurs passages".
De fait, j'ai trouvé cette première partie guère passionnante : le scénario est quasiment inexistant, les personnages peu attachants et édulcorés jusque dans le graphisme et les couleurs fades. Nous sommes loin de ce que revendiquait Rimbaud, dans une lettre à Georges Izambard : "Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens".
Bref, ma subjectivité ne s'accorde pas avec celle de l'auteur.