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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Critique

 

Invasion 14 (Maxence Van der Meersch)

note: 5Nord profond - 12 janvier 2019

De la guerre 14-18, c’est souvent la vie sur le front, ou à l’arrière mais dans des zones non occupées, qui est évoquée dans les romans. Celui-ci, publié pour la première fois en 1935, se distingue en campant la vie éprouvante des populations civiles dans le Nord bombardé et occupé, à Roubaix plus particulièrement. De ces années de souffrance et d’effroyable misère généralisée, les différents milieux sociaux sont très bien décrits, avec des courages et des lâchetés dans toutes les strates de cette population coupée de la France non occupée. Petits et grands trafics, détournement sans scrupule de l’aide alimentaire, violences, dénonciations, tromperies, règlements de comptes impitoyables… contrebalancés par des solidarités nouvelles. Il y a du Zola dans cette fresque romanesque qui mérite vraiment d’être redécouverte pour cette immersion dans une autre réalité de 14-18, mais également pour sa qualité d’écriture et sa belle galerie de personnages.