Recherche


Avis de lecteurs

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Blue Box (Blue Box)

note: 5Une comédie romantique sportive Florian MSP - 3 janvier 2024

Un excellent manga de romance avec un petit côté sport où on va suivre nos deux protagonistes Chinatsu et Taiki qui vont commencer à mieux se connaître suite à une [...]

La Fièvre (Sébastien Spitzer)

note: 4« Parce que j’aime bien faire ce que je veux ! » Catherine MSP - 10 août 2023

Vous connaissez Calamity Jane évidemment mais Martha Jane ? Je veux dire par là ses toutes jeunes années ? Une mère décédée, un père absent... c’est à Jane que revient [...]

La guerre des pauvres (Eric Vuillard)

note: 5Superbe hommage aux théologiens moyenâgeux de la révolution Jérôme - 27 février 2023

Le prix Goncourt 2017 Eric Vuillard fait la part belle dans "La Guerre des pauvres" à Thomas Müntzer surnommé plus tard "théologien de la révolution". C'est un récit littéraire érudit [...]

On Giacometti (Hania Rani)

note: 1On Giacometti Patrick - 16 novembre 2023

Héritière de Keith Jarrett, Terry Riley, klaus Shulze et admiratrice d'Agnès Obel une prodigieuse pianiste

Les Enfants endormis (Anthony Passeron)

note: 4Drogue, sida, secret de famille FM - 30 décembre 2022

A travers l'histoire taboue de son oncle, jeune homme du début des années 1980 détruit par l'héroïne, l'auteur restitue l'épopée de l'apparition du sida et des recherches médicales pour le [...]

Critique

 

Frankenstein (Editors)

note: 3FKS Emmanuel - 4 août 2018

Dans la même veine que ces prédécesseurs, ce nouvel album de No One Is Innocent suit les habitudes du groupe : riffs lourds, textes engagés, chant énergique, etc. Les puristes (comprendre : les fans de la périodes fusion/hardcore de No One) seront déçus : les touches d'électro sont trop petites, les mélodies couvrent les rythmes,... on tend vers du rock. Mais cela reste brutal ! Il n'y a pas de doute : c'est bien du No One ! C'est frontal. On le prend en pleine face. Les oreilles bourdonnent et Kemar écrit toujours les textes au poignard plutôt qu'à la plume. Il se complait à les scander haut et fort de sorte à imprégner les esprits, à amorcer la révolte.