le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre
"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]
Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]
Là où des groupes se réinventent à chaque album tandis que d'autres choisissent de ne jamais s'écarter de leur cap, Metalica joue le compromis : la changement survient tous les 2 ou 3 opus. Une démarche parfois forcée (ex: mort du bassiste Cliff Burton après le Master of Puppets) ou parfois volontaire (ex: album Load).
Avec "Hardwired... to self-destruct", on est dans la continuité de l'album précédent ("Death Magnetic") qui lui-même emprunte beaucoup au vénérable (et vénéré) "And Justice for all...". De prime abord, ce nouvel album est plutôt frustrant: pas vraiment de tube à l'horizon. Il faut toutefois persister car "Hardwired... to self-destruct" fait preuve d'une intéressante diversité : des morceaux commerciaux, d'autres plus lourds, des intros "speed",... Metallica puise dans son savoir-faire et réarrange. Un conservatisme emprunt de maturité...
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