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Avis de lecteurs

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Critique

 

Trancher (Amélie Cordonnier)

note: 4Quand la violence ne se voit pas. Marie, MMC - 21 décembre 2018

Nous ne connaîtrons jamais le prénom de la femme qui parle, qui nous raconte à la façon d'un journal, son histoire, cette décision prise il y a 7 ans et aujourd'hui à nouveau remise en question alors qu'elle pensait que tout était fini.
Cette femme, mère de 2 enfants a tout pour être heureuse, un travail qu'elle aime, des enfants qui la comblent, un mari intelligent, beau, doué, cultivé, le gendre idéal que les copines lui envient. Pourtant, les doutes, la peur et la boule qu'elle a dans le ventre ne lui laissent aucun répit. Non Aurélien ne la bat pas, jamais ses mains ne l'ont frappée et pourtant, des coups elle en a reçus et 7 années après avoir cru que tout était fini, les blessures se réveillent:
Un samedi matin comme un autre, la petite famille est réunie dans la cuisine et soudain ces mots : «Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes». La violence d'Aurélien est verbale. Cette fois-ci elle décide de ne rien lâcher et de trancher.