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Avis de lecteurs

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Critique

 

La goûteuse d'Hitler (Rosella Postorino)

note: 5Quand chaque bouchée peut être la dernière Marie, MMC - 11 mai 2019

1943. Rosa a quitté Berlin pour rejoindre la ferme de ses beaux-parents. Ils attendront ensemble le retour de son mari parti au front. Arrivée depuis peu elle est recrutée pour devenir goûteuse. Hitler reclus dans son quartier général en Prusse orientale, a peur de l’assassinat. Quatre fois par jour, Rosa et les autres goûteuses se régalent de mets délicieux risquant d’être à chaque fois leur dernier repas. Tout n’est que paradoxe dans cette vie qu'elle subit : allemande, on la traite comme un chien, dans l’inquiétude de l’attente, son corps ose aimer.
C’est un très beau roman dans lequel l’humain est au premier plan. Il est parfois si simple de juger et pourtant la réalité et surtout l’horreur peuvent peser très lourd dans nos choix.