Recherche


Avis de lecteurs

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Critique

 

Un printemps à Tchernobyl (Emmanuel Lepage)

note: 5Une lecture époustouflante et très émouvante Victoria, MMC - 6 août 2014

Avril 2008, Emmanuel Lepage arrive en Ukraine, près de Tchernobyl. il se rend sur place pour réaliser un reportage sur la vie des survivants et de leurs enfants à l’ombre de la centrale. Là, il part dessiner régulièrement près ou dans la zone. On sent le stress, le compteur Geiger qui sonne…et la sensibilité de l'artiste qui s'éveille. Concernant le dessin, c’est tout simplement splendide ; s'il s'attendait à trouver ruines et désolations au moment de son départ, c'est finalement la vie et l'espoir que dépeint ici Emmanuel Lepage. En revanche l'aspect documentaire fait un peu défaut : j’aurais aimé avoir plus d’informations tangibles sur le traitement des victimes ou sur la gestion de la zone par exemple.