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Avis de lecteurs

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Critique

 

Le Vent se lève (Hayao Miyazaki)

note: 4Miyazaki et le règne des machines Victoria, MMC - 20 mars 2015

« Le Vent se lève » nous entraine dans les années 1920, sur les traces du jeune Jiro, qui à cause de sa mauvaise vue, ne pourra jamais devenir pilote d’avion. S’il ne peut réaliser son rêve initial, le jeune homme deviendra tout de même un éminent ingénieur aéronautique. Miyazaki nous fait part des réussites et échecs de ce génie, animé des meilleures intentions et dévoré par sa passion.
Au niveau du biopic, le réalisateur japonais fait des merveilles et parvient à captiver le spectateur avec un sujet pourtant à priori barbant. Il traite la fatalité de la maladie avec une délicatesse et une certaine tendresse. Le travail esthétique est, comme d’habitude, impeccable et la musique, minimaliste mais pourtant sublime, font de ce dernier Miyazaki un grand film à tous les niveaux.