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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Critique

 

Temps glaciaires (Fred Vargas)

note: 2Désillusion... Victoria, MMC - 8 août 2015

L'enthousiasme des retrouvailles avec le commissaire Adamsberg et ses troupes a fait place à un vrai sentiment de déception. Pourtant tous les ingrédients qui font habituellement le plaisir d’un bon Vargas sont au rendez-vous.
Malheureusement, la mayonnaise ne prend pas et ce dernier épisode m’a laissée perplexe. Prenons d’abord les personnages, tellement poussés à l’extrême qu’ils en deviennent une caricature d’eux même (Danglard, très cultivé de base, se transforme carrément en professeur d’histoire…). Quant à l’intrigue, l’auteure nous fait voyager en Islande, puis nous fait revivre la période de la Révolution à travers un groupe de passionnés de Robespierre. Deux univers opposés qui s’entremêlent mais qui ne m’ont pas convaincue. Une histoire somme toute bien alambiquée, dont les multiples rebonds n’ont aucun intérêt, si ce n’est de perdre le lecteur dans une intrigue trop longue, dense et pleine d’invraisemblances.
Clairement pas le meilleur Vargas… Je n’ai pas pris le plaisir escompté, tant pis, ce sera sans doute pour la prochaine fois !