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Avis de lecteurs

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Critique

 

Temps glaciaires (Fred Vargas)

note: 2Désillusion... Victoria, MMC - 8 août 2015

L'enthousiasme des retrouvailles avec le commissaire Adamsberg et ses troupes a fait place à un vrai sentiment de déception. Pourtant tous les ingrédients qui font habituellement le plaisir d’un bon Vargas sont au rendez-vous.
Malheureusement, la mayonnaise ne prend pas et ce dernier épisode m’a laissée perplexe. Prenons d’abord les personnages, tellement poussés à l’extrême qu’ils en deviennent une caricature d’eux même (Danglard, très cultivé de base, se transforme carrément en professeur d’histoire…). Quant à l’intrigue, l’auteure nous fait voyager en Islande, puis nous fait revivre la période de la Révolution à travers un groupe de passionnés de Robespierre. Deux univers opposés qui s’entremêlent mais qui ne m’ont pas convaincue. Une histoire somme toute bien alambiquée, dont les multiples rebonds n’ont aucun intérêt, si ce n’est de perdre le lecteur dans une intrigue trop longue, dense et pleine d’invraisemblances.
Clairement pas le meilleur Vargas… Je n’ai pas pris le plaisir escompté, tant pis, ce sera sans doute pour la prochaine fois !