Critique

 

Citadel (Ne Obliviscaris)

note: 5Du pays des kangourous Emmanuel, MMC - 8 septembre 2015

Lorsqu'on parle de musique métal, l'Australie fait rarement partie des conversations hormis pour évoquer AC/DC ou, dans une moindre mesure, Silverchair. C'est peut-être l'éloignement géographique qui nous rend demi-sourds au chant des kangourous ?!
Voilà qui est bien dommage! Le groupe de métal progressif extrême, Ne Obliviscaris, est là pour le prouver : avec ce second opus, Citadel, le groupe propose des morceaux tantôt d'une grande profondeur, tantôt d'une pesante brutalité. Il faut dire que l'originale composition du groupe (guitares, violon, basse, batterie, voix claire, voix grave) met en valeur des compositions très élaborées.
Du grand art!