Une adaptation du roman de Zola en BD, fort bien menée, tant sur le plan graphique que narratif, et qui me donne maintenant envie de lire l'original !
Héritière de Keith Jarrett, Terry Riley, klaus Shulze et admiratrice d'Agnès Obel une prodigieuse pianiste
A travers l'histoire taboue de son oncle, jeune homme du début des années 1980 détruit par l'héroïne, l'auteur restitue l'épopée de l'apparition du sida et des recherches médicales pour le [...]
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
Steve Abbot était un auteur et poète mais ce n’est pas lui qui écrira son journal, c’est sa fille Alysia qui a vécu seule avec son père après le décès de sa mère dans un accident de voiture. Un drôle de duo que voilà ! Steve est poète, activiste homosexuel et membre de la communauté hippie de San Francisco dans les années 1970/1980. Alysia écrit sur son père, elle écrit sur ce que fut sa vie dans cette ambiance libertaire et bohème mais aussi sur la difficulté d’assumer l’homosexualité de son père. En toile de fond, le contexte social et politique, le militantisme d’Harvey Milk et toute la vie du quartier du Corso. Contre eux une Amérique conservatrice, réactionnaire et intolérante. Puis le choc de l’épidémie de Sida qui s’abat la population homosexuelle de San Francisco qui se replie sur elle-même pour pleurer ses morts et mourir. Il reste de ce roman une impression de profond respect, de pudeur et de tendresse tant de la part du père que de la part de sa fille.
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
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