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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Critique

 

Jules Matrat (Charles Exbrayat)

note: 5Syndrome post-traumatique - 12 janvier 2019

Jeune paysan dans la Loire, Jules Maltrat est mobilisé en 1914, incrédule devant cette guerre que sa faible éducation et son milieu familial fruste ne lui ont pas permis de deviner. Il part vers l’inconnu, laissant à regret sa fiancée et ses parents derrière lui. Mais au fil des ans, il se sent plus proche d’un camarade de combat, premier véritable ami, que des siens qui ne peuvent imaginer ce qu’est devenu son quotidien. Chaque permission est plus difficile. Et quand la guerre se termine, que Jules revient dans son univers d’avant-guerre, tout lui devient insupportable et le rend cruel avec ceux qui l’aiment.
Charles Exbrayat est connu pour ses romans policiers (plus de cent publiés au Masque), beaucoup moins pour ce premier et beau roman sorti en 1942 qui dresse un sensible portrait d’un homme simple, dépassé par sa souffrance, démuni pour l’exprimer.