Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
Vous connaissez Calamity Jane évidemment mais Martha Jane ? Je veux dire par là ses toutes jeunes années ? Une mère décédée, un père absent... c’est à Jane que revient [...]
Vous connaissez Calamity Jane évidemment mais Martha Jane ? Je veux dire par là ses toutes jeunes années ? Une mère décédée, un père absent... c’est à Jane que revient [...]
A travers l'histoire taboue de son oncle, jeune homme du début des années 1980 détruit par l'héroïne, l'auteur restitue l'épopée de l'apparition du sida et des recherches médicales pour le [...]
Clarisse s'enlise dans son quotidien de mère au foyer banale, entre un mari ronchon mais sans plus et des enfants mignons mais sans plus.
Ce qui donne un roman vraiment sans plus.
On attend. Mais tout est désespérément plat.
Les actions (qui n'en sont pas) sont tellement décrites que vous finissez par vous aussi vous ennuyer. Par exemple, on sait que les enfants en rentrant de l'école se lavent les mains et le visage, pas la peine de l'écrire/le sous-entendre à chaque fois.
En bref, entre stéréotypes (la mère de l'héroïne, un vrai cliché) et récit prévisible, ma déception balance.
Il est ceci dit bien dommage de réduire l’œuvre de Zoyâ Pirzâd à ce roman, ses recueils de nouvelles (comme Le goût âpre des kakis, ou bien le joli Un jour avant Pâques) sont bien plus réjouissants !
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00