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Avis de lecteurs

Hello (Hania Rani)

note: 4Hello Patrick - 16 novembre 2023

Héritière de Keith Jarrett, Terry Riley, klaus Shulze et admiratrice d'Agnès Obel une prodigieuse pianiste

Chien 51 (Laurent Gaudé)

note: 4Polar sur fond post-apo BC - 11 avril 2023

C'est un monde sombre dépeint ici, où les entreprises ont pris l'ascendant sur toute notion de service public, faisant des habitants des cilariés, croisement entre citoyens et salariés. En prime, [...]

La Fièvre (Sébastien Spitzer)

note: 4« Parce que j’aime bien faire ce que je veux ! » Catherine MSP - 10 août 2023

Vous connaissez Calamity Jane évidemment mais Martha Jane ? Je veux dire par là ses toutes jeunes années ? Une mère décédée, un père absent... c’est à Jane que revient [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

On Giacometti (Hania Rani)

note: 1On Giacometti Patrick - 16 novembre 2023

Héritière de Keith Jarrett, Terry Riley, klaus Shulze et admiratrice d'Agnès Obel une prodigieuse pianiste

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Critique

 

Frankenstein (Editors)

note: 3FKS Emmanuel - 4 août 2018

Dans la même veine que ces prédécesseurs, ce nouvel album de No One Is Innocent suit les habitudes du groupe : riffs lourds, textes engagés, chant énergique, etc. Les puristes (comprendre : les fans de la périodes fusion/hardcore de No One) seront déçus : les touches d'électro sont trop petites, les mélodies couvrent les rythmes,... on tend vers du rock. Mais cela reste brutal ! Il n'y a pas de doute : c'est bien du No One ! C'est frontal. On le prend en pleine face. Les oreilles bourdonnent et Kemar écrit toujours les textes au poignard plutôt qu'à la plume. Il se complait à les scander haut et fort de sorte à imprégner les esprits, à amorcer la révolte.