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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Critique

 

L'étrange disparition d'Esme Lennox (Maggie O'Farrell)

note: 5Vie volée et secrets de famille Victoria, MMC - 19 novembre 2014

A 16 ans, Euphemia Lennox est placée dans un hôpital psychiatrique. Soixante ans plus tard, l'établissement ferme et contacte la parente éloignée de la patiente, Iris Lockhart. Cette dernière ignore alors qu'elle a une grand-tante, personne n'en ayant jamais fait mention devant elle.
Si Maggie O'Farrell reste pudique dans la description des sentiments, le roman reste terriblement émouvant et décrit de façon saisissante la condition des femmes au début du 20ème siècle. Le style d'écriture est très particulier : l'histoire est racontée d'une traite, sans chapitres, alternant les voix de deux femmes de génération et d'éducation radicalement différente. Un roman d'une beauté troublante sur le poids des conventions et la complexité des liens familiaux. A lire absolument !