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Avis de lecteurs

Chien 51 (Laurent Gaudé)

note: 4Polar sur fond post-apo BC - 11 avril 2023

C'est un monde sombre dépeint ici, où les entreprises ont pris l'ascendant sur toute notion de service public, faisant des habitants des cilariés, croisement entre citoyens et salariés. En prime, [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Blue Box (Blue Box)

note: 5Une comédie romantique sportive Florian MSP - 3 janvier 2024

Un excellent manga de romance avec un petit côté sport où on va suivre nos deux protagonistes Chinatsu et Taiki qui vont commencer à mieux se connaître suite à une [...]

La guerre des pauvres (Eric Vuillard)

note: 5Superbe hommage aux théologiens moyenâgeux de la révolution Jérôme - 27 février 2023

Le prix Goncourt 2017 Eric Vuillard fait la part belle dans "La Guerre des pauvres" à Thomas Müntzer surnommé plus tard "théologien de la révolution". C'est un récit littéraire érudit [...]

La Fièvre (Sébastien Spitzer)

note: 4« Parce que j’aime bien faire ce que je veux ! » Catherine MSP - 10 août 2023

Vous connaissez Calamity Jane évidemment mais Martha Jane ? Je veux dire par là ses toutes jeunes années ? Une mère décédée, un père absent... c’est à Jane que revient [...]

La bête humaine (Emile Zola)

note: 4Mélodrame chez les Cheminots S.BASSET - 4 mars 2023

Une adaptation du roman de Zola en BD, fort bien menée, tant sur le plan graphique que narratif, et qui me donne maintenant envie de lire l'original !

Critique

 

Oeuvre non trouvée

note: 3Tennis et mélodrame Victoria, MMC - 17 février 2015

« Happy » est un manga un peu incongru dans la bibliographie de Naoki Urasawa, qu’on connait surtout pour ses séries noires Monster, 20th Century Boys ou encore Billy Bat.
On y découvre l’histoire de Miyuki Umino, orpheline, jonglant entre les petits boulots et le lycée pour subvenir aux besoins de sa famille. Traquée par la mafia locale à qui elle doit une grosse somme d’argent, elle décide de reprendre le tennis, domaine où elle excellait plus jeune, en espérant passer professionnelle et gagner ainsi de quoi rembourser ses créanciers.
Je dois dire que je m’attendais à quelque chose de moins caricatural : pour moi les personnages présentés manquent cruellement d’épaisseur, sans parler de l’héroïne, gentille et naïve au possible. Bref, une montagne de bons sentiments au programme. Heureusement, la pâte graphique d’Urasawa est bien présente et c’est tout de même un plaisir de retrouver une telle justesse des mouvements et une telle finesse dans les expressions du visage dans un feuilleton sportif de ce genre !