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Avis de lecteurs

Hello (Hania Rani)

note: 4Hello Patrick - 16 novembre 2023

Héritière de Keith Jarrett, Terry Riley, klaus Shulze et admiratrice d'Agnès Obel une prodigieuse pianiste

On Giacometti (Hania Rani)

note: 1On Giacometti Patrick - 16 novembre 2023

Héritière de Keith Jarrett, Terry Riley, klaus Shulze et admiratrice d'Agnès Obel une prodigieuse pianiste

Les Enfants endormis (Anthony Passeron)

note: 4Drogue, sida, secret de famille FM - 30 décembre 2022

A travers l'histoire taboue de son oncle, jeune homme du début des années 1980 détruit par l'héroïne, l'auteur restitue l'épopée de l'apparition du sida et des recherches médicales pour le [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

La bête humaine (Emile Zola)

note: 4Mélodrame chez les Cheminots S.BASSET - 4 mars 2023

Une adaptation du roman de Zola en BD, fort bien menée, tant sur le plan graphique que narratif, et qui me donne maintenant envie de lire l'original !

Critique

 

Le vent se lève (Gohu)

note: 4Miyazaki et le règne des machines Victoria, MMC - 20 mars 2015

« Le Vent se lève » nous entraine dans les années 1920, sur les traces du jeune Jiro, qui à cause de sa mauvaise vue, ne pourra jamais devenir pilote d’avion. S’il ne peut réaliser son rêve initial, le jeune homme deviendra tout de même un éminent ingénieur aéronautique. Miyazaki nous fait part des réussites et échecs de ce génie, animé des meilleures intentions et dévoré par sa passion.
Au niveau du biopic, le réalisateur japonais fait des merveilles et parvient à captiver le spectateur avec un sujet pourtant à priori barbant. Il traite la fatalité de la maladie avec une délicatesse et une certaine tendresse. Le travail esthétique est, comme d’habitude, impeccable et la musique, minimaliste mais pourtant sublime, font de ce dernier Miyazaki un grand film à tous les niveaux.