Le prix Goncourt 2017 Eric Vuillard fait la part belle dans "La Guerre des pauvres" à Thomas Müntzer surnommé plus tard "théologien de la révolution". C'est un récit littéraire érudit [...]
Héritière de Keith Jarrett, Terry Riley, klaus Shulze et admiratrice d'Agnès Obel une prodigieuse pianiste
A travers l'histoire taboue de son oncle, jeune homme du début des années 1980 détruit par l'héroïne, l'auteur restitue l'épopée de l'apparition du sida et des recherches médicales pour le [...]
Un excellent manga de romance avec un petit côté sport où on va suivre nos deux protagonistes Chinatsu et Taiki qui vont commencer à mieux se connaître suite à une [...]
Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]
L'enthousiasme des retrouvailles avec le commissaire Adamsberg et ses troupes a fait place à un vrai sentiment de déception. Pourtant tous les ingrédients qui font habituellement le plaisir d’un bon Vargas sont au rendez-vous.
Malheureusement, la mayonnaise ne prend pas et ce dernier épisode m’a laissée perplexe. Prenons d’abord les personnages, tellement poussés à l’extrême qu’ils en deviennent une caricature d’eux même (Danglard, très cultivé de base, se transforme carrément en professeur d’histoire…). Quant à l’intrigue, l’auteure nous fait voyager en Islande, puis nous fait revivre la période de la Révolution à travers un groupe de passionnés de Robespierre. Deux univers opposés qui s’entremêlent mais qui ne m’ont pas convaincue. Une histoire somme toute bien alambiquée, dont les multiples rebonds n’ont aucun intérêt, si ce n’est de perdre le lecteur dans une intrigue trop longue, dense et pleine d’invraisemblances.
Clairement pas le meilleur Vargas… Je n’ai pas pris le plaisir escompté, tant pis, ce sera sans doute pour la prochaine fois !
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00