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Avis de lecteurs

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Critique

 

Oeuvre non trouvée

note: 3Tennis et mélodrame Victoria, MMC - 17 février 2015

« Happy » est un manga un peu incongru dans la bibliographie de Naoki Urasawa, qu’on connait surtout pour ses séries noires Monster, 20th Century Boys ou encore Billy Bat.
On y découvre l’histoire de Miyuki Umino, orpheline, jonglant entre les petits boulots et le lycée pour subvenir aux besoins de sa famille. Traquée par la mafia locale à qui elle doit une grosse somme d’argent, elle décide de reprendre le tennis, domaine où elle excellait plus jeune, en espérant passer professionnelle et gagner ainsi de quoi rembourser ses créanciers.
Je dois dire que je m’attendais à quelque chose de moins caricatural : pour moi les personnages présentés manquent cruellement d’épaisseur, sans parler de l’héroïne, gentille et naïve au possible. Bref, une montagne de bons sentiments au programme. Heureusement, la pâte graphique d’Urasawa est bien présente et c’est tout de même un plaisir de retrouver une telle justesse des mouvements et une telle finesse dans les expressions du visage dans un feuilleton sportif de ce genre !