le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]
Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]
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Violaine, adolescente, se retrouve en enceinte malgré elle. Impossible d’en parler à ses parents, surtout pas à son père, qui est médecin ! S’en suivent les doutes et les hésitations de la jeune fille quant au déroulement d’un IVG et à la possibilité de garder ou non son bébé.
Je m’attendais un peu, malgré le thème abordé, à retrouver l’humour et la légèreté qui caractérisait si bien « Oh boy ! », roman du même auteure, que j’avais adoré. De ce point de vue-là, je m’avoue un peu déçue. On sent bien la gravité du sujet, Marie-Aude Murail distille quelques touches d’humour par ci par là, mais les personnages sont peu consistants et au final la sauce ne prend pas, d’autant plus que la fin du roman s’avère peu crédible. Une histoire touchante malgré tout.
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
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