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Avis de lecteurs

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Critique

 

Que ta volonté soit faite (Maxime Chattam)

note: 3Quand on parle du mal! JM - 19 mai 2015


Jon Petersen est né dans le sang et la haine son père meure assassiné le jour de sa naissance et sa mère meurt des suites de son accouchement .L’enfant grandira esseulé, sans amour et sans amis. Il va regarder passer le temps cultivant la rancœur la haine, et laissant monter en lui le mal, irrémédiablement comme une maladie qui vous envahie et vous pourri de l’intérieur.
Car c’est le mal qui peu à peu va dominer ce jeune garçon, il commence par regarder et torturer des fourmis puis des chats et autres animaux. Maxime Chattam comprend alors qu’il fait naitre aussi chez son lecteur un sentiment de peur et d’horreur.
Le scénario n’est pas forcément très original mais on tourne les pages car le roman est bien rythmé et l’histoire nous absorbe jusqu’à un dénouement inattendu.
Le décor que Chattam nous propose est celui d’une petite bourgade du Middle West loin de tout avec son chérif, son puritanisme et ses querelles. Un décor et des images pittoresques mais qui ne donne pas forcément envie d’aller y faire du tourisme.
Un roman noir qu’on ne lâche pas avant la fin !