le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre
"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]
Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]
Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]
Le juge Stallworth est respecté et compte bien le rester, son ambition est de nettoyer New York du mal et plus particulièrement le quartier du triangle noir. Dans ce quartier [...]
Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]
Catherine "fait sale", c’est Madame qui le dit. Catherine n’est pas sale, elle est pauvre mais pas sale. Elle ne servira donc pas à table et sera vouée aux tâches les plus ingrates. Un jour qu’elle doit surveiller Sylvie, petite- fille de Monsieur et Madame, l’enfant de 4 ans disparait. Les gendarmes vont venir puis deux policiers de Paris. Tous vont enquêter pour retrouver l’enfant.
Louise Mey place son roman dans le Nord de la France dans une famille bourgeoise qui a fait sa fortune sur la betterave à sucre. Tout est arasé, défriché pour faire de l’argent, tous les habitants du village ou presque dépendent de cette économie et ceux qui possèdent exploitent et pressurent ceux qui travaillent. La richesse est à ce prix dit Catherine.
Un roman rural et sombre où l’on patauge les pieds dans la boue, où tout le monde sait mais où personne ne parle. Une ambiance à la Maigret tout à fait réussie.
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00