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Avis de lecteurs

Akane banashi n° 1
Ce jour-là (Yūki Suenaga)

note: 5La rakugo-ka girl Florian MSP - 10 janvier 2024

Un très bon shonen qui parle du rakugo, un art traditionnel japonais. On suit Akane durant l'histoire où elle va mettre en pratique cet art dans différents spectacles et en [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Et vous passerez comme des vents fous (Clara Arnaud)

note: 5L'Ourse Sylvie - 14 février 2024

Dans les Pyrénées, à l'aube du XXème siècle, Jules capture une oursonne pour la dresser et devient montreur d'ours.
Aujourd'hui, dans ces mêmes montagnes, une ourse attise les peurs ancestrales. Gaspard [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Critique

 

Orphelins 88 (Sarah Cohen-Scali)

note: 4Après-guerre et reconstruction Victoria, MMC - 2 août 2019

« Orphelins 88 » peut être considéré comme la continuité de « Max », un autre roman de Sarah Cohen-Scali. Tous deux abordent une facette méconnue de la Seconde Guerre mondiale : le programme Lebensborn, des centres dans lesquels les nazis tentaient de créer la race aryenne parfaite.
Cette fois, elle explique comment les SS enlevaient des enfants répondant aux critères aryens dans les pays de l’Est, pour les germaniser par la suite. Le petit Jo est l’un de ses enfants. Amnésique, nous le suivrons tout au long du roman dans sa quête d’identité.
Sans jamais tomber dans le pathos, l’autrice décrit avec brio les désastres qu’a causé la guerre sur les plus jeunes, le tout d’une écriture fluide et abordable. « Orphelins 88 » passionne autant qu’il fait horreur par moments, mais n’en reste pas moins un roman à la fois instructif et nécessaire.