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Avis de lecteurs

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

note: 4Lettre franco-iranienne Jérôme - 6 mars 2024

Très beau texte de Maryam Madjidi qui raconte sa déterritorialisation relative, corporelle et mentale, jalonnée de doutes, de l'Iran vers la France. Ses réflexions sur l'école républicaine française et les [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Critique

 

La route de Beit Zera (Hubert Mingarelli)

note: 5En Israël JM, MMC - 12 juillet 2016

Le roman se passe en Israël, près de Beit Zera, non loin du lac de Tibériade. Stepan est juif, il vit seul avec sa chienne vieillissante, son univers se résume au travail, quelques balades avec sa chienne, la contemplation et le souvenir de son fils contraint à l’exil en Nouvelle Zélande. Il vit dans une grande solitude entrecoupée parfois par le visite de son ami Samuelsson . Un jour arrive un enfant d’une douzaine d’année, il vient à pieds de Beit Zera. Cet enfant arabe s’appelle Amghar, il n’inspire à Stépan que de l’indifférence, peu à peu un lien subtil et discret va naître entre le vieil homme et l’enfant par l’intermédiaire de ce chien. Un court roman sur fond de conflit israélo-palestinien. Un style épuré, des sentiments effleurés, un univers masculin tout en retenue