Recherche


Avis de lecteurs

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

Ralph Azham n° 1
Est-ce qu'on ment aux gens qu'on aime ? (Lewis Trondheim)

note: 4Vaut le détour Maxence - 26 février 2024

Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !

Du même bois (Marion Fayolle)

note: 5Comme des bêtes Sylvie - 28 mars 2024

Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]

Le rapport de Brodeck n° 1
L'autre (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Critique

 

Fairyland (Alysia Abbott)

note: 5San Francisco 1970 JM, MMC - 18 novembre 2016


Steve Abbot était un auteur et poète mais ce n’est pas lui qui écrira son journal, c’est sa fille Alysia qui a vécu seule avec son père après le décès de sa mère dans un accident de voiture. Un drôle de duo que voilà ! Steve est poète, activiste homosexuel et membre de la communauté hippie de San Francisco dans les années 1970/1980. Alysia écrit sur son père, elle écrit sur ce que fut sa vie dans cette ambiance libertaire et bohème mais aussi sur la difficulté d’assumer l’homosexualité de son père. En toile de fond, le contexte social et politique, le militantisme d’Harvey Milk et toute la vie du quartier du Corso. Contre eux une Amérique conservatrice, réactionnaire et intolérante. Puis le choc de l’épidémie de Sida qui s’abat la population homosexuelle de San Francisco qui se replie sur elle-même pour pleurer ses morts et mourir. Il reste de ce roman une impression de profond respect, de pudeur et de tendresse tant de la part du père que de la part de sa fille.