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Avis de lecteurs

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Critique

 

Trancher (Amélie Cordonnier)

note: 4Quand la violence ne se voit pas. Marie, MMC - 21 décembre 2018

Nous ne connaîtrons jamais le prénom de la femme qui parle, qui nous raconte à la façon d'un journal, son histoire, cette décision prise il y a 7 ans et aujourd'hui à nouveau remise en question alors qu'elle pensait que tout était fini.
Cette femme, mère de 2 enfants a tout pour être heureuse, un travail qu'elle aime, des enfants qui la comblent, un mari intelligent, beau, doué, cultivé, le gendre idéal que les copines lui envient. Pourtant, les doutes, la peur et la boule qu'elle a dans le ventre ne lui laissent aucun répit. Non Aurélien ne la bat pas, jamais ses mains ne l'ont frappée et pourtant, des coups elle en a reçus et 7 années après avoir cru que tout était fini, les blessures se réveillent:
Un samedi matin comme un autre, la petite famille est réunie dans la cuisine et soudain ces mots : «Ferme ta gueule une bonne fois pour toutes, connasse, si tu veux pas que je la réduise en miettes». La violence d'Aurélien est verbale. Cette fois-ci elle décide de ne rien lâcher et de trancher.