le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre
Léger, drôle et touchant.
La suite des aventures donne envie !
Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
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Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]
Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
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Benoît Lauzanne est commercial, une vie tracée qu’il passe sur les routes et dans les hôtels. Des absences qui limitent aussi les moments qu’il doit passer chez lui aux côtés de sa femme dont l’incapacité à être heureuse a fini par être contagieuse. Le jour où il croit reconnaître dans un bar de gare son grand amour de jeunesse, tout bascule.
Il ne retournera pas travailler et ne rentrera pas avant de la revoir, avant d’être certain qu’il s’agit bien d’elle. Mais la vie réserve des surprises. Avec cette poésie dans l’écriture qui est la marque d’Hélène Gestern, ce roman questionne : « Pourquoi choisit-on un jour de déserter sa propre vie et comment les autres compensent-ils cette absence ? ».
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
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