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Avis de lecteurs

Connemara (Nicolas Mathieu)

note: 5Comédie humaine ultra moderne Jérôme - 6 mars 2024

Superbe fresque sentimentale rurale qui conjugue intimité des relations conjugales (mais pas que) et sociologie critique et subtile de la start-up nation, de la fracture centre/périphérie et du monde des [...]

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Carnet de prison (Galien)

note: 4«Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts» Isaac Newton Jérôme - 29 janvier 2024

"Meilleur texte" [...] selon le préfacier et écrivain communiste Alain Badiou sur la prison, qui y est "admirablement croquée" par l'auteur de bandes dessinées et dessinateur de presse (Le Sans-culotte [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Critique

 

Le coût de la vie (Deborah Levy)

note: 5The freedom is never free JM, MMC - 9 janvier 2021


Deborah Lévy raconte la vie, enfin sa vie mais sa vie est aussi celle de beaucoup d'autres. Elle raconte l’usure des sentiments et la fin douloureuse d’une histoire, la sienne. A 50 ans le changement de vie se fait au détriment de certaines choses et au profit d’autres. Par une succession d’épisodes l’autrice nous raconte sa nouvelle vie dont on doit parfois rogner les coins. L’immense frigidaire de la grande maison ne tiendra pas dans le petit appartement sur les hauteurs de Londres, c’est l’heure des choix. Elle s’adapte et finalement semble trouver une sérénité dans sa nouvelle vie. Deborah Lévy nous offre un roman subtil, riche en questionnements et en réflexions sur sa condition d’écrivain, d’épouse, de femme. Un roman assez court très référencé, incisif et souvent drôle qui se lit facilement et sur lequel on peut revenir souvent.