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Avis de lecteurs

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Le rapport de Brodeck n° 2
L'indicible (Manu Larcenet)

note: 5L'Autre et l'Indicible Sylvie - 19 mars 2024

Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]

Je suis leur silence (Jordi Lafebre)

note: 5Les voix d'Eva Sylvie - 8 février 2024

Eva est psychiatre. Fantaisiste, délurée, débordante de vitalité, c'est une jeune femme décalée et attachante.
Elle est contactée par une ancienne patiente pour venir l'assister suite au décès d'un oncle.
Eva [...]

Au coeur des solitudes (Lomig)

note: 5Hymne à la nature Sylvie - 2 mars 2024

"Et dans la forêt, je pars, pour perdre mon esprit et retrouver mon âme". Cette citation est de John Muir (21 avril 1838 / 24 décembre 1914). Lomig retrace la [...]

L'université des chèvres (Christian Lax)

note: 5"L'éducation élève l'esprit" Sylvie - 2 mars 2024

Du XIXè siècle à nos jours, nous suivons les parcours de Fortuné et Sanjar, qui des Alpes du Sud en France aux paysages rudes de l'Afghanistan, vont de villages en [...]

Passeur de souffle (Patricia Hespel)

note: 5"Interroge ton cœur, il te dira qui tu es." Sylvie - 14 mai 2024

Une prophétie qui, des siècles plus tard est considérée comme une légende par les hommes. Bren, Naäi et l'enfant Nil partent en quête de liberté et de vérité. Pendant leur [...]

Critique

 

Et le chêne est toujours là (Sofia Lundberg)

note: 5Deux femmes, deux histoires et un arbre Marie, MMC - 11 mai 2022

Esther et Ruth ont plusieurs décennies d'écart, ne se connaissent pas mais partagent sans le savoir le même banc sous le même chêne. Esther pleure sous ce chêne sa famille brisée par ce choix, pourtant juste, de quitter son mari. Vivre sans son fils une semaine sur deux est un déchirement dont elle doute pouvoir guérir. Ruth retrouve sous ce chêne la douceur de son enfance et d'un bonheur perdu trop tôt.
Lorsque les deux femmes se rencontrent et partagent physiquement le banc, un lien se crée. Leurs récits se croisent, se mêlent et sans vraiment s'en rendre compter, chacune à leur manière, elles vont s'aider, s'accompagner et leur vie en sera changée, même si pour Ruth, la fin du voyage est proche.