Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]
Brodeck est un homme, rescapé de l'enfer.
Un jour, les hommes du village vont l'obliger à rédiger un rapport sur la mort de "L'Anderer", à laquelle Brodeck n'a pas assité. Ce [...]
Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]
Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]
Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]
Une ferme. D'un côté, les jeunes, de l'autre, les anciens. Au milieu, les bêtes.
La vie à trimer, à s'occuper des vaches, des champs.
La vie qui passe, trépasse...
Le roman de Marion [...]
Italo, Cosimo, Vanda et Riccardo sont 4 enfants italiens qui ont l’habitude de se retrouver dans la cour de l’immeuble où habite Cosimo pour jouer ensemble. Bien sûr, le conflit mondial et la présence des allemands bouleversent leur vie : un papa prisonnier, un autre bien placé dans le parti, un frère héros de guerre, des soupes parfois très claires.
Mais malgré tout cela l’amitié et les jeux perdurent.
C’est pourquoi le jour où Ricardo ne vient pas, l’inquiétude est immédiate, puis les jours passent et nos petits héros de la cour prennent la décision d’aller à son secours. Ils sont certains que Ricardo et sa famille ont été mis dans un train, alors ils suivront la ligne jusqu’à ce fameux camp dont Italo a entendu son papa parler avec un officier allemand.
Au fil des kilomètres, ils vont connaître la faim, le froid mais surtout à mesure qu’ils s’éloigneront de leur maison, ils s’éloigneront de leur enfance. Un peu dans l’esprit du film de Bellini "La vie est belle", l’horreur de la guerre, les camps de concentration, l’extermination des juifs sont dévoilés à hauteur d’enfant, sans que cela ne les rendent plus acceptables ou supportables. Au contraire, ouvrir les yeux en même temps qu’eux rappelle à quel point l’horreur n’a épargné personne. Mais ils restent des enfants qui rient, jouent, se chamaillent et rêvent aussi.
Un joli roman qui nous rappelle que les enfants sont souvent porteurs d’espoir et d’avenir.
Place Maréchal de Lattre de Tassigny
03000 Moulins - 04 43 51 00 00