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Avis de lecteurs

Le boiseleur n° 1
Les mains d'Illian (Hubert)

note: 5Les oiseaux en bois Sylvie - 17 février 2024

Illian est un sculpteur sur bois très talentueux. Il travaille, sans relâche, pour M. Koppel, à fabriquer des cages en bois que ce dernier vend aux habitants de Solidor, la [...]

Le printemps de Sakura (Marie Jaffredo)

note: 5"Puis chaque année, le printemps revient" Sylvie - 26 mars 2024

Sakura vit à Tokyo avec son père. Sa mère est morte dans un accident, Sakura avait 5 ans. Cela fait trois ans et Sakura est une petite fille triste. Son [...]

The housing monster (prole.info)

note: 5the housing monster Boris - 30 mars 2024

le titre pourrait se traduire par: "quand le bâtiment va tout va". Ou comment asservir le peuple avec le crédit.
PS: c'est un livre "en français" malgré son titre

Le boiseleur n° 2
Le boiseleur n° 2
L' esprit d'atelier (Hubert)

note: 5La guerre de l'Art Sylvie - 2 mars 2024

Depuis qu'il est parti de Solidor, Illian ne sculpte plus. Mais, sa renommée suscite l'intérêt de Tullio Hamzari, grand sculpteur de la prestigieuse cité de Bélizonde.
Ce dernier réussit à convaincre [...]

Les chevaux du vent n° 1-2 (Jean-Claude Fournier)

note: 5L'Octuple Sentier * Sylvie - 29 mars 2024

Une famille, une fratrie de trois frères dont le cadet est sourd. Ce dernier partira pour devenir moine bouddhiste.
Le quotidien... Le père ne peut se résoudre à cet abandon et [...]

Différence invisible (Julie Dachez)

note: 5La fille aux baskets rouges Sylvie - 13 mars 2024

Marguerite est une jeune femme comme les autres : elle travaille, vit en couple.
Mais parfois, les apparences sont trompeuses. Le quotidien est un calvaire pour Marguerite qui doit faire d'énormes [...]

Critique

 

Voleur de feu : une vie d'Arthur Rimbaud n° 1
Voleur de feu (Damien Cuvillier)

note: 2"Je veux être poète" Sylvie - 19 décembre 2023

Une BD sur la vie d'Arthur Rimbaud, "poète voyant", à la courte vie tumultueuse : sacré défi ! L'incipit nous avertit : "L'auteur (...) assume une totale subjectivité ainsi que la fictionnalisation de plusieurs passages".
De fait, j'ai trouvé cette première partie guère passionnante : le scénario est quasiment inexistant, les personnages peu attachants et édulcorés jusque dans le graphisme et les couleurs fades. Nous sommes loin de ce que revendiquait Rimbaud, dans une lettre à Georges Izambard : "Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens".
Bref, ma subjectivité ne s'accorde pas avec celle de l'auteur.